Si on en croit les pseudo féministes oligarchiques et vindicatives qui se répandent dans les médias, Bertrand Cantat devrait raser les mur, se déplacer en rampant, et lécher les bottes de toute la classe médiatique, pour expier le meurtre de Marie Trintignant au cours d'une dispute qui a très mal tourné.
Dans un premier temps, il faut noter que Cantat n'a pas tué volontairement Marie Trintignant. Il n'avait bien entendu aucun intérêt à le faire. Dans un second temps, il faut rappeler que tous les VIP sont sous la surveillance des satellites du Mind Control, qui les filment jour et nuit toute leur vie et tentent de leur nuire par tous les moyens. Les satellites du Mind Control diffusent des ondes électromagnétiques qui permettent de diriger le comportement des ciblés : ces ondes peuvent téléguider les gestes et déterminer l'humeur de la personnes surveillée. Des centaines de milliers de personnes subissent la tyrannie de ces satellites sans le savoir. La plupart des crimes commis en France et dans le monde le sont sous l'influence du Mind Control. Parler des différentes affaires criminelles, sans citer le Mind Control est une escroquerie, surtout dans la mesure où la plupart des journalistes, avocats et experts psychiatres sont parfaitement informés du sujet. A la limite, on ne peut pas juger sérieusement une affaire, si on ne mentionne pas que les protagonistes ont pu être manipulés par ondes électromagnétiques. Ce qui permet aux manipulateurs cachés derrière leur écran de rester éternellement impunis.
Cantat est donc, plus que probablement, une victime du Mind Control, puni parce qu'il a été considéré comme arrogant par les pontes de l'établissement, parce que ses positions politiques ont déplu à l'oligarchie, parce qu'il a été en rivalité amoureuse avec des gens bien placés, parce qu'il a osé défier certaines personnalités. L'oligarchie française et internationale a donc décidé de le punir, en provoquant une dispute avec sa compagne, et en la faisant dégénérer en rixe mortelle. Personne ne sait si Marie Trintignant est morte des coups de Cantat, si elle s'est heurté la tête mortellement en tombant après avoir été poussée, ou si elle a été achevée par les ondes satellitaires.
Le plus probable est que ce sont les chiens du Mind Control qui ont tué Marie Trintignant, de manière à faire accuser Cantat, tout en se débarrassant d'une actrice qu'ils devaient considérer comme une sorte de bobo, espèce qu'ils abhorrent sans limite. Il s'agit, politiquement, d'un combat gauche écolo contre gauche caviar, où les deux camps ont perdu : l'une a perdu la vie tandis que l'autre est obligé de supporter les conséquences d'un homicide qu'il n'a probablement pas commis.
Depuis quelques temps, Cantat est poursuivi par une horde de harpies, qui le provoquent avant chaque concert, en espérant qu'il craque et se mette à les frapper, ce qui permettrait de le ramener en prison. On se demande dans quelle mesure il est légal d'agresser ainsi un artiste avant son spectacle.
Ces bourgeoises fascistes semblent se croire tout permis. Elles ont décidé qu'une loi spéciale devait s'appliquer à qui tuait une membre de l'oligarchie dirigeant la France. Si la victime de Cantat avait été une prostituée, personne n'aurait jamais parlé de l'affaire. Dans une France où les membres de l'oligarchie sont connus pour leur propension à humilier, violer et tuer les femmes issues de l'immigration, où la pédophilie semble être la règle dans certains milieux politico-médiatiques, on se demande pourquoi les "féministes" ne se réveillent que pour accabler Cantat. De nombreux ministres et ancien ministres sont impliqués dans des affaires de pédophilie ou de viol, mais, cela n'intéresse pas nos féministes. Elles ne s'attaquent qu'à des gens n'ayant pas suffisamment de puissance sociale pour les mettre hors d'état de nuire. Elles tirent sur des ambulances et jouent les redresseuses de torts.
Il semble donc que les bourgeois en colère aient décidé que Cantat n'aurait plus jamais le droit de travailler. Ou alors dans un autre domaine que la musique. Il envisagent peut-être pour lui une carrière de manutentionnaire, correspondant à son gabarit, ou bien de distributeur de prospectus, ou encore de grand frère chargé de rééduquer les maris violents ? A moins qu'ils ne le condamnent à vivre éternellement enfermé chez lui, à s'excuser d'avoir été victime d'un complot de l'oligarchie.
Cantat a le droit de pratiquer son métier, surtout dans la mesure où il doit payer ses avocats ; pour faire de la musique il faut intervenir dans les médias pour faire connaître son spectacle et, les harpies bourgeoises n'ont pas a aboyer sauvagement dès qu'il fait la couverture d'un magazine.
Le jour où la loi du silence sera levée sur la question du Mind Control, on saura que Cantat était une victime et non le monstre décrit par les thuriféraires de l'oligarchie ploutocratique de droit divin, qui se croit la propriétaire exclusive du pays.
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